Mon buraliste m’a expliqué qu’il n’avait absolument aucun choix dans les quantités, titres que les distributeurs leur imposent. Qu’il perdait ainsi des clients parce que tel journal ou revue n’était pas assez vendeur dans la boutique aux yeux des distributeurs. Par contre, que quand il s’agit des marchands de presse de chez Carrefour, on ne leur posait pas autant de conditions....