Le plus simple aurait été de dire ce que vous savez sur les raisons de cette démission. Malgré mes relances, vous avez refusé. Ou plutôt vous êtes resté muet. Et vous dites vouloir continuer à ne rien dire. De là à penser que c’est parce que vous n’avez aucun argument à fournir, c’est un pas que j’ai franchi. Charge à vous de démontrer le contraire. Et je vous promet d’utiliser le peu d’intelligence que vous me concédez pour essayer de comprendre.