Pour amuser la galerie ? Ou pour assurer la promotion de nos petits marquis locaux, de nos belles personnes en charge des affaires publiques, et leur fournir ainsi une propagande électorale facile et bon marché ?
Les Echos publie ce mois un dossier TGV : TGV, un modèle à réinventer. On peut y lire, notamment :
« Fin 2011, l’état dramatique des finances publiques pousse plus que jamais à un retour au réalisme. Les pouvoirs publics vont être contraints à des choix douloureux parmi les nombreux projets de lignes à grande vitesse dans les cartons, même si les arbitrages sont renvoyés après l’élection présidentielle de 2012. Les projets encore en phase de débat public, comme la ligne Paris-Orléans-Clermont-Lyon ou celle envisagée pour relier Paris à la Normandie, semblent particulièrement menacés. Idem pour celui concernant la région Provence-Alpes-Côte d’Azur. »