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Omission - Mister K - 19 novembre 2017 à 09:00

Oui, tout cela est surréaliste. Le développement de l’enseignement supérieur, même s’il a connu quelques accélération dans les années 90, a toujours été très (trop) limité à Bourges et dans le Cher. Depuis les années 2000, ça stagne voir cela régresse. La crise de l’Université d’Orléans ne va pas aider. Le malheureux objectif de 5000 étudiants n’est toujours pas atteint. Rien n’a vraiment été réalisé pour les étudiants à Bourges. Des choix abracadabrantesques n’ont pas permis de créer une vie étudiante digne de ce nom. Des choses de base comme les transports en commun, resto ou bibliothèque universitaire sont trop limités. Qu’on le veuille ou non, les villes dynamiques en France sont obligatoirement universitaires avec l’esprit qui va avec. À Bourges, on n’a pas l’esprit qui va bien. On n’investit pas, on ne prend pas d’initiatives. Il ne faut pas s’étonner du résultat. Et on pourra toujours reporter la faute sur l’État comme n’arrête pas de le faire Pascal Blanc. La vérité, c’est qu’à Bourges, ça dort.


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