poster message en reponse
À Bourges, c’est le chantier ! - dbsky - 17 septembre 2010 à 05:44

Bonjour Eulalie,
En effet … Je tiens à signaler aussi certaines choses, cet été, la déviation cause travaux passait par la rue Guilbeau, le revêtement qui venait d’être posé à tout simplement été défoncé.
De plus pour les habitations qui longent cette rue, il était impossible de laisser les fenêtre ouvertes à cause du bruit incessant, causé par le passage répété des voitures, camions, motos… Et je ne parle même pas de la pollution, l’air est devenu irrespirable, suffoquant, le linge laissé sur les séchoirs devenait gras et sale par les rejets des moteurs. Une véritable honte.
Nous avons passé un été pourri à cause de cela.

En aparté, je voudrais m’offusquer sur le journal régional Le Berry.
J’ai envoyé plusieurs courriers pour leur demander, qu’il fasse un article sur ce que nous endurions depuis des semaines, des mois, des années et la gabegie financière sur ces travaux au travers de leur site internet. À ce jour aucune réponse…. Cela en dit long sur la pluralité de ce journal…

En aparté, mon fils est au Lycée Marguerite de Navarre. C’est un Lycée très âgé, qui est vétuste. Cette école à grandement besoin de travaux !
À la réunion des parents d’élèves, il y a eu cette question : Pourquoi cet été aucun travaux de réfections n’ont été fait ?
Réponse du Directeur : Donnez moi des sous….

Sur ce je me suis dit que ce gâchis à laquelle nous assistons dans cette ville, aurait permis de refaire maintes écoles…
Et je ne suis pas le seul à dire cela.

Nous vivons une drôle d ‘époque, ou toutes les idioties sont permises, même chez les décideurs, je pense que c’est voulu car l’argent est là, il n’y a qu’a le ramassé.
Qui va payer ?

Je trouve les beruriers et berurieres passives, tout le monde rouspète dans leurs coins, mais personne ne bouge, Je sais la vie moderne ne nous laisse même plus le temps de se poser et poser les vraies questions…
Bonne journée


#29468



Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

Qui êtes-vous ?