Les députés et leurs assistants disposeront à la rentrée parlementaire, en juin, de PC équipés de la distribution Linux Ubuntu.
Mandriva et Ubuntu étaient en lice pour séduire les parlementaires français. C’est finalement Ubuntu qui a été choisi pour équiper 1154 postes informatiques.
Le marché a été remporté par la société Linagora, spécialisée dans le logiciel libre. Le projet a été porté par Richard Cazenave et Bernard Carayon (UMP), qui mettent en avant certains avantages des solutions non propriétaires dont « l’allègement du coût des équipements informatiques publics et le transfert de la valeur ajoutée vers des prestataires français et européens ».
Après la Gendarmerie Nationale, le Ministère des transports, c’est une bonne nouvelle pour tous les défenseurs du logiciel libre. C’est aussi une bonne nouvelle pour Ubuntu qui confirme ainsi son succès croissant (mérité selon nous) auprès des acteurs du monde informatique.