Irène Félix reconnaît qu’il y a antinomie entre le projet réel (interconnexion des grands centres urbains et développement des zones intermédiaires) et les promesses qu’on fait miroiter
lire plutôt :
Irène Félix reconnaît qu’il y a antinomie entre le projet réel (interconnexion des grands centres urbains) et les promesses qu’on fait miroiter (développement des zones intermédiaires) ...
C’est plus compréhensible.