Euh, bon, Rigoberto, vous n’êtes pas obligé de poster deux fois le même lien sur deux articles différents. Parce que là, ça sent surtout le radotage voir le bourrage de crâne. Mais j’imagine que c’est une déformation politique.
Ensuite, je me demande ce qui sent le plus la mort : les cartes postales de Bourges au siècle dernier ou ce qui reste de la Maison de la Culture, une façade qui tient à peine debout avec un trou béant derrière ? Assez symbolique du personnel politique de Bourges en 2016, vous ne trouvez pas ?
Le présent peut être pitoyable. Ses acteurs incapables et aveugles. Dans ces conditions, il ne serait pas totalement idiot d’y réfléchir à deux fois avant de leur confier l’avenir. Car sinon, les cartes postales, c’est bientôt tout ce qui nous restera.