Et à noter également que dans les informations qui circulent sur des sites, réseaux officiels ou non, on ne voit, ne lit, aucun enseignant d’Université s’exprimer, que ce soit de l’Université de Montpellier ou d’ailleurs.
La question que je me pose c’est si ce climat politique vérolé, putréfié de l’Université de Montpellier est propre à celle-ci ou si les évènements qui s’y sont déroulés et se déroulent actuellement ne seraient pas possibles dans une autre université. Voire, cela devait certainement arriver un jour à Montpellier ou ailleurs. On croit halluciner d’abord, mais finalement, s’agit-il d’un concours de circonstances et de personnes précises ou d’un système politique universitaire qui ouvre ses portes aux milices d’extrême-droite ?