Sur la part des variants détectée au niveau national :
" Au niveau national, la part du variant dit britannique parmi les tests positifs criblés est stable à près de 83% sur 7 jours (à J-3). La part des variants dit sud-africain et brésilien, toujours non distingués dans les données ouvertes, est également stable à 4%. Les évolutions restent logiquement différenciées entre la métropole et l’outre-mer. Signalons ce qui semble être une anomalie concernant Mayotte, avec une disparition du variant sud-africain, alors qu’il représentait plus de la moitié des tests positifs criblés. Les variants sud-africain et/ou brésilien continuent de progresser en Île-de-France, et continuent de régresser en Moselle. Ils augmentent fortement en Creuse, passant de 9,8% à 29%. La part des tests positifs criblés continue de reculer, et est passée d’environ 60% début mars à 55% fin mars, 52% début avril, et moins de 50% (48,4%) au 15 avril. Les taux de variants du SARS-CoV-2 portent donc sur moins de la moitié des tests positifs détectés."
Bulletin épidémiologique hebdomadaire du 12 au 18 avril : Du côté de la Science