Et à la condition que les syndicats d’enseignants n’aient pas non plus abandonné la défense de la santé au travail, les personnels, les élèves, les étudiant pendant l’épidémie. Enfin à condition que les syndicats en général n’aient pas abandonné les salariés au sars cov 2. Logique, les syndicats sont comme toute la gauche pendant cette épidémie. Sauf au début, mais après, plus personne. Après le confinement ils ont critiqué les divers protocoles sanitaires qui ne cessaient de changer . Maintenant il n’y en a plus aucun. Comme ça, tout le monde est content : les syndicats, le gouvernement, les parlementaires. Et plus aucune revendication en demande de filtres, de capteur, de masques, de tests. "Ouh là là, que de contraintes sanitaires, vous vous rendez pas compte ! On préfère que tout le monde se contamine. C’est beaucoup plus simple comme ça . C’est pas notre problème ce qui se passe après les contaminations à l’école ou ailleurs. D’ailleurs, ce n’est le problème de personne sauf de ceux qui tombent malades, gravement, mortellement.". Telle est la gauche, tel est son combat.

Et puis pour les remplacements des enseignants malades de la covid, le gouvernement a trouvé la parade pour cette année et les années à venir : on recrute n’importe qui à n’importe quel moment. Comme ça, plus de fermetures de classes, d’écoles même quand les enseignants seront malades. Le gouvernement est sûr d’avoir un vivier de remplaçants infini. Les conséquences sont désastreuses et pour l’enseignement et pour la santé. Mais qu’est-ce que ça peut bien faire à ce gouvernement et à la gauche....