Je n’ai pas compris grand’chose à ce billet, à part que son auteur semble éprouver quelque haine à la fois vis-à-vis du PCF, de la CGT et d’Ambroise Croizat.
Tant qu’à exposer des « zones d’ombre » de Croizat, autant le faire de manière un peu utile pour le lecteur, en contextualisant et en faisant un effort d’objectivité.
Mais j’imagine qu’entre ça et une diatribe échevelée employant à moultes reprises l’épithète « stalinien », l’auteur a choisi l’option pour lui la plus plaisante. Le tout pour finir par gloser sur Bismarck... Pourquoi pas ?
On peut aussi se demander pourquoi les « zones d’ombre » interdiraient de rendre hommage, et il y a de quoi rire un coup vu les affinités de l’auteur avec un personnage (Trotski) dont le moins qu’on puisse dire est qu’il a laissé quelques taches dans l’histoire.
Pour parler comme l’auteur : « on se croirait dans un bulletin de vieux trostkystes qui n’en finissent pas de ressasser leur rancoeur d’avoir raté tous les rendez-vous de l’Histoire ».