Surprise ! L’auteur de l’article Yann Galut sur WP a demandé de changer son nom. Dans la liste des requêtes adressées à l’encyclopédie, on peut lire : « Bonjour, mon premier nom d’utilisateur est aussi celui de mon identifiant mail. J’avais à l’origine pour ambition d’être un contributeur régulier : le temps me manque. Un "journal d’information" en ligne dans la ville où je demeure s’est servi de mon identifiant Pa.couf - donc de mon nom - pour me nuire. Je souhaite changer de pseudonyme pour protéger ma vie professionnelle et ma famille. Pa.couf » Précision : ce changement a eu lieu le 10 octobre, jour de publication de la brève.

Bon. Alors que dire ? 1.Que nous n’avons publié que ce que tout le monde pouvait savoir, puisque l’accès à WP est libre. 2.Que le jugement sur l’article ne vient pas de nous, mais des modérateurs de WP 3.Que nous n’avons pas spécialement voulu nuire à M. Couf, et que nous n’avons mentionné son nom que pour éclairer et manifester le détournement de WP au profit de l’autopromotion de Yann Galut. En révélant (révélation est un bien grand mot, puisque le Monsieur signe ... de son nom réel !) l’auteur, on révélait le collaborateur du Conseiller Général, vice président du CG. Au total, cette intervention sur WP confirme la justesse de nos déductions. Ceci dit, l’auteur d’un mauvais article est-il un mauvais auteur ? A chacun de répondre. Pour l’heure, M. Couf peut toujours améliorer son article, ou proposer d’autres contributions. Dernières choses : M. Couf dit vouloir protéger sa vie privée et sa carrière professionnelle. On ne voit pas bien en quoi cette brève les menace. M. Couf met des guillemets à "journal d’informations" en parlant de l’Agitateur. Cette brève est bien une information. La communication fait partie intégrante de la stratégie d’un homme politique. En confondant les registres, en mélangeant ce qui est de l’ordre de l’information générale et ce qui est de l’ordre de la promotion, l’article Y. Galut induit possiblement en erreur les internautes. WP l’a fait remarquer. Nous l’avons signalé à notre tour. La liberté de la presse en ligne, que M. Galut défendait il y a juste un an face au ministre Hortefeux, ne s’use que si l’on ne s’en sert pas, selon la devise d’un hebdo bien connu.